mardi 10 mars 2009

Echos de la coordination du 7 mars







Pour entrer dans l'enceinte, nous passons au milieu d'une haie d'hommes en noir : sécurité. La Sorbonne a été occupée puis évacuée la veille (pas vu à la télé). Le sésame, c'est "IUFM", sans autre contrôle.
Nous sommes quelques-uns à craindre que les débats ne portent pas sur l'essentiel, que l'invitation faite aux directeurs d'IUFM fasse diversion ou conflit. Mais il n'en sera rien : à aucun moment l'ampleur de l'attaque et celle de la lutte à mener ne seront perdues de vue.
Ainsi, l'intervention de G. Molinié (cf. l'appel du 9 février, consultable sur le blog et à se passer en boucle en cas de baisse de moral), la présence du responsable national de la FCPE venu dire son soutien, la prise de parole de représentants d'étudiants, le rappel dans le temps et dans l'espace de l'état du mouvement, le panorama des maquettes non remontées, le communiqué de la CPU (avec ce mot "inacceptable")… tout converge à faire mesurer la gravité de la situation, les raisons de notre colère et les objectifs de la coordination:
Certes, il faut impérativement tenir notre place et y tenir, en tant que force de proposition, de connaissances et de compétences dans la mise en place –à venir!- de vraies réformes du recrutement de la formation des enseignants.
Mais l'urgence reste dans les actions à conduire pour obtenir le retrait des réformes et dans la mobilisation qui doit être plus forte.
Les motions doivent servir à ancrer aussi bien la lutte que les revendications dans la coordination et la convergence.
NOUS NE SOMMES PAS SEULS



NOUS NE SOMMES PAS MORTS



NOUS POUVONS GAGNER



DE LA MATERNELLE A L'UNIVERSITE






Les déléguées de l'IUFM de Lyon

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